Temps de lecture 1 min. | Mise à jour le 16 mai 2022.
Dès que l’on parle du travail, nombreux sont celles et ceux qui évoquent de la frustration : « on ne nous permet pas de faire notre travail comme il faut » et très souvent cela va jusqu’à la souffrance.
L’augmentation du nombre de suicides dans tous les secteurs professionnels, la montée implacable des troubles musculo-squelettiques, le contraste entre les atteintes à la santé à l’approche du départ à la retraite malgré l’allongement de la durée de vie, toutes ces inégalités ne cessent de croître. Toute cette « mal-vie » liée au « mal-travail » envahit la scène sociale et remet en question les fondements de notre société.
Alors, exprimer le désir du « bien travailler » et de l’intérêt général participe à prendre le contre-pied d’une vision de victimisation du travail, à imaginer et à lutter pour un droit au bonheur. C’est parce que nous nous appelons très justement Confédération générale du travail que redonner du sens au travail constitue aujourd’hui notre ambition de transformation sociale.
Rappelons ici encore que la Fonction publique est soumise à la quatrième partie du Code du Travail. La diversité des statuts des personnels et des employeurs tout comme la précarisation des contrats nous amènent à donner des éléments du statut de la Fonction publique d’État et du secteur privé.